L’intrigue entre Marion et le garde du corps sexy fait ressortir deux des défauts les plus rédhibitoires de la série : l’homophobie larvée (« il est gay, il a une chemise rose ») et Marion, elle-même, personne fonction, love interest de Stéphane qu’il doit reconquérir, malgré qu’elle soit souvent présentée comme reloue et casse-bonbons.

Sinon, Éric Judor est plus présent, donc le niveau comique augmente d’un cran et la série a la bonne idée d’aborder des sujets interessants (peut-on réellement taxer les plus privilégiés sans qu’ils menacent de se barrer ?), mais le tout de loin, En Place préfère quand même s’éparpiller (l’ambassadeur norvégien kidnappé), ce qui est dommage, car la série pourrait être vraiment subversive et mordante, mais ce n’est pas trop son ambition.